Le Complexe Bi-Oxydoz® a été créé par le Laboratoire français Lidoz®,
et bénéficie du dépôt d’un brevet pour l’association de 3 actifs spécifiques :
Extrait d’Allium sativum L. + Géranium + Miel

L’extrait de bulbes d’Ail : un allié insoupçonné

Une plante de légende à l’histoire millénaire

L'Ail (Allium sativum L.) est un bulbe originaire d'Asie centrale.
Il est utilisé depuis plus de 6 000 ans.
Il était largement cultivé en Égypte (le premier conflit social de l'histoire de l'humanité aurait
été provoqué par la suppression de la ration d'Ail donnée aux esclaves égyptiens construisant
les pyramides pour décupler leur force).
On a retrouvé aussi de nombreux colliers d’Ail dans des sarcophages de pharaons.
Les athlètes grecs en consommaient de grandes quantités.
Les Romains lui prêtaient aussi un pouvoir fortifiant et le donnaient à manger à leurs soldats en campagne.
Dans l’Odyssée, Hermès en donne à Ulysse qui l’utilise comme antidote.
Le Roi Henri IV consommait abondamment l’Ail, notamment pour ses vertus aphrodisiaques.
La légende raconte que l'Ail permettait de repousser les vampires et de conjurer les mauvais sorts
(au Moyen Âge, les enfants portaient des tresses d’Ail autour du cou pour se protéger des sorcières).
Dans de nombreuses pratiques, l’Ail se révèle comme un agent protecteur contre les agressions
dangereuses et les influences néfastes.

Une plante cultivée, à la présence planétaire

L’Ail est une Liliacée dont le bulbe pousse à l’état sauvage et a besoin de peu d’eau, de nutriments et de chaleur pour se développer.
La Chine et l'Espagne en sont aujourd’hui de grands producteurs.

Une plante aux vertus médicinales reconnues

Sa valeur médicinale est connue depuis des millénaires des Chinois, des Égyptiens et des Grecs.
Ce sont les Égyptiens qui ont découverts les propriétés de l’Ail contre les morsures de serpents en frottant des gousses
sur la plaie pour neutraliser le venin.
Les grands médecins et philosophes grecs citent très tôt les bienfaits de l’Ail que l’on fait distribuer aux soldats,
aux ouvriers et aux esclaves pour les renforcer et les aider à lutter contre les maladies et les blessures.
En 1858, Louis Pasteur lui-même constata, après avoir mis de l’Ail dans une boîte de Pétri,
que les bactéries environnantes étaient rapidement détruites.
L'armée russe l'a utilisé lors des 2 dernières guerres mondiales.
C'est la découverte de la pénicilline qui le fit sombrer, un temps, dans l'oubli.

Une petite astuce

Pour repousser n’importe quel insecte de vos plantations et mettre ainsi en place une véritable barrière olfactive contre les moucherons, les pucerons, les fourmis et les puces, il vous suffit de pulvériser un mélange d’eau et d’huile essentielle d’Ail ou même de laisser macérer plusieurs gousses d’Ail dans l’eau d’arrosage. Aucun insecte ne s’approchera plus de vos tomates ou de vos rosiers et même si des larves se sont déjà introduites avant traitement, l’Ail se chargera de les asphyxier.


Une composition d’une richesse inouïe

La composition de l’Ail n’a pas encore livré tous ses mystères.
Le soufre est responsable de l’odeur caractéristique de l’Ail coupé (qui a une action protectrice pour la plante) mais il n’est pas le principal ingrédient médicinal de l’Ail.
Plus de 200 substances ont d’ores et déjà été isolées et, même si certaines ont une importance particulière, il semble que la valeur unique de l’Ail tienne à la grande variété de ses composants.

Les principaux composants de l’Ail sont l’allicine (qui bloque l’expansion des bactéries et est fabriquée après la coupe, à partir d’alliine par action d’une enzyme, l’allinase), l’ajoène, le diallyl trisulfide (propriétés antibactériennes, antifongiques et antivirales), l’adénosine, la S-allyl-cystine…

De nombreux travaux sont en cours dans de multiples universités pour approfondir notre connaissance des vertus de l’Ail. L'Ail est, selon la littérature, bénéfique en cas d’acné, d’affections respiratoires et de grippe, de boutons de fièvre, de maladies infectieuses, de rhume, d’excès de cholestérol, de troubles de la coagulation du sang, de diabète, de diarrhée, d’eczéma, d’empoisonnement aux métaux lourds, d’hémorroïdes, d’hypertension…
Il sera particulièrement utile pour se protéger de son environnement, notamment dans les endroits très fréquentés, susceptibles de connaître une concentration microbienne importante : métro, bus, gares, aéroports, lieux publics.

Le Géranium : un remarquable allié pour se protéger
des risques bactériens de son environnement

Une plante différente du géranium des fleuristes

Le Géranium (Geranium maculatum L.) est une Géraniacée des régions tempérées.
D’origine africaine et chinoise, il fut introduit en Europe au XVIIème siècle. Il pousse sur les terrains calcaires, pauvres et ombragés.
La majorité des Géraniums d’ornement ne sont pas réellement des Géraniums, mais désignent des plantes cultivées du genre Pelargonium, originaires d’Afrique australe, très populaires dans nos régions tempérées où elles sont très utilisées comme plantes de balcons.
On compte plus de 600 espèces de Géranium différentes, aux quatre coins du monde.
Le parfum du Geranium maculatum L. est suave, frais et fruité.
Ses principaux principes aromatiques sont le citronellol, le géraniol, le bornéol, le linalol, le terminéol, le formiate de citronellyle, l’isomenthone, le limonène et le 6,9 guaïadiène.
Il est très souvent utilisé dans les produits de parfumerie et de cosmétologie.

Un formidable antiseptique, protecteur contre l’environnement

L’huile essentielle de Geranium maculatum L., qui est extraite par distillation des parties aériennes récoltées avant la floraison, est connue pour son action anti-infectieuse, particulièrement utile pour se protéger des risques bactériens de son environnement.
Elle est très prisée par le monde de la cosmétique pour ses vertus apaisante, régénératrice et régulatrice sur les peaux sèches, irritées ou abîmées par l’âge (rides, ridules d’expression...).
Par voie externe, elle est aussi utilisée en cas de couperose, de bouton de fièvre, d’eczéma, de gerçures ou de piqûres d’insectes.

Le Miel : un antiseptique naturel doté d’un effet
« couvrant et protecteur » trop souvent ignoré

Un produit de légende

Le Miel est apprécié depuis la nuit des temps autant pour son goût délicat et sucré que pour ses vertus.
Il est source de multiples légendes dont certaines sont arrivées jusqu’à nous au travers d’expressions populaires.
Ainsi, l’expression « lune de miel » nous viendrait des Babyloniens qui, dans l’Antiquité, avaient pour coutume que le père d'une mariée offre toujours à son gendre du vin de miel (hydromel), non pas pour le saouler mais pour qu’il puisse honorer sa nouvelle femme avec force et vigueur pour au moins une lune…

Une composition unique

  • Un travail d’équipe :

La richesse nutritive unique du Miel est liée au travail acharné de la Nature, et plus particulièrement des abeilles dont la butineuse prélève sur les fleurs le nectar, liquide sucré, sécrété puis excrété par de nombreuses plantes.
La transformation du nectar en Miel commence lors du voyage, au cours duquel il est accumulé dans le jabot de l'abeille. C'est dans son tube digestif que s'amorce la longue transformation : des enzymes agissent sur le nectar. Le saccharose, sous l'action de l'invertase, se transforme en glucose, fructose, maltose... A son retour dans la ruche, la butineuse régurgite sa charge, la passe aux ouvrières, qui elles-mêmes la communiquent à d'autres et ainsi de suite. D'individu en individu, la teneur en eau s'abaisse en même temps que le liquide s'enrichit en sucs gastriques et substances salivaires : invertase et glucose-oxydase notamment. Simultanément, d'autres sucres sont synthétisés, qui n'existent pas au départ. La goutte épaissie est déversée ensuite dans une alvéole qui sera, après évaporation, obturée par un opercule de cire. A ce moment, la solution sucrée transformée, qui contient encore 50% d'eau environ, va subir une nouvelle concentration par évaporation, qui se fait sous la double influence de la chaleur de la ruche (36° environ) et du travail des abeilles ventileuses qui assurent un puissant courant d’air par un mouvement très rapide de leurs ailes.

  • Une composition unique :

Le Miel ainsi composé renferme moins de 20% d’eau et est très riche en substances nutritives et actives :

    • sucres, dont principalement le fructose, le glucose, le maltose, c'est-à-dire des sucres peu caloriques
      mais très énergisants,

    • minéraux et oligo-éléments (plus d’une trentaine ont été répertoriés), vitamines (B1, B2, B3 ou PP,
      B5, B6, C, et, accessoirement A, B8 ou H, B9, D et K) sous une forme particulièrement assimilable par
      le corps humain. Le miel doit cette présence aux extraits floraux et aux exsudats d'une végétation variée,
      dans lesquels les plantes ont concentré toute leur richesse en ces précieuses substances.
      Un Miel multifloral sera ainsi très riche en ces substances, au vu de la variété des plantes à son origine,

    • protéines (< 1%), dont un très grand nombre d'acides aminés : acide aspartique, acide glutamique,
      alanine, arginine, asparagine, cystine, glycine, histidine, isoleucine, leucine, lysine, méthionine,
      phénylalanine, proline, sérine, tryptophane, tyrosine et valine,

    • polyphénols antioxydants,

    • lipides en infime quantité,

    • enzymes, dont les principaux sont les amylases alpha et bêta, l’invertase et la glucose-oxydase,

    • plusieurs facteurs antibactériens et antibiotiques naturels,

    • de nombreuses autres substances biologiques diverses.

Une panacée universelle

  • Les vertus médicinales du Miel :

Le Miel est un aliment que l'Humanité connaît depuis toujours.
Les usages qu'en faisaient les Anciens étaient très variés, que ce soit en Egypte et en Afrique où il jouait un grand rôle dans l'alimentation et la Pharmacopée, pour soigner brûlures, morsures de serpent ou plaies infectées.
Les vertus du Miel, consommé régulièrement, ne sont plus à démontrer.
En effet, le Miel est une formidable source d’énergie : croissance, convalescence, fatigue, sportifs.
De plus, il permet de lutter contre les affections ORL, les maux de gorge, les troubles digestifs : constipation passagère, infections de l'estomac et de l'intestin.

  • Le Miel, un allié de charme pour lutter contre les infections environnementales :

Le Miel, en application locale, a des propriétés antiseptiques et antibiotiques bien connues.

Un effet « couvrant et protecteur » particulièrement intéressant
pour protéger les actifs et permettre leur action durable

Au-delà de ses vertus médicinales et de ses qualités gustatives, le Miel a un effet mécanique, « couvrant et protecteur » particulièrement intéressant.
Dans certaines formules, le Miel va enserrer (« emprisonner ») et protéger certains actifs, permettant ainsi leur action durable, au contact de la zone d’application.
Cette action « couvrante » du Miel va s’ajouter à sa propre efficacité antibactérienne et antibiotique, au plan local. D'autre part, sa faible concentration en protéines empêche les bactéries de croître correctement.

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